S’exposer à la lumière naturelle du jour.
Une bonne nuit , cela se prépare dans la journée.
C’est dans la journée que nos comportements sont les plus nombreux à avoir un impact, qu’il soit positif ou négatif, sur le sommeil.
Un des premiers conseils donnés aux insomniaques est de bien marquer l’alternance jour-nuit en s’exposant à la lumière dès le matin, lumière du jour, ou à des luminosités fortes.
Sortir le matin marcher une vingtaine de minutes au jour, même si le temps est nuageux, permet à votre cerveau de stopper la sécrétion de la mélatonine, hormone du sommeil.
En hiver, il est préférable d’avoir des éclairages puissants chez vous.
L’éclairage artificiel des bureaux est loin de reproduire la luminosité naturelle du soleil, ne bloquant que partiellement notre sécrétion de mélatonine dans la journée ; si bien que nous flottons toute la journée entre une demie torpeur et un demi éveil.
Réduire les éclairages artificiels le soir.
L’éclairage devrait s’estomper (le soleil se couche), et les lumières artificielles se tamiser.
Or c’est trop souvent le contraire qui se passe : les lampes halogènes sont allumées ainsi que les lampes à économie d’énergie. A la maison, outre les lumières, la télévision est allumée, source d’un flux lumineux intense envoyé au cerveau.
Il en va de même avec l’écran de l’ordinateur, de la tablette, du smartphone ou des jeux vidéo : à l’excitation lumineuse s’ajoute l’excitation mentale. Tout est fait pour bloquer la sécrétion de mélatonine qui devrait se mettre en route le soir, et pour exciter le cerveau qui a alors besoin d’aller vers plus d’apaisement. Deux ou trois heures plus tard, au moment du coucher, il est normal que l’endormissement soit difficile ou impossible.
Le problème, c’est la lumière bleue.
Notre horloge biologique, notre cerveau réagissent essentiellement à la fraction bleue de la lumière.
La lumière que nous voyons se compose de différentes couleurs et de différentes longueurs d’ondes. Des expériences ont été menées il y a une vingtaine d’années avec les différentes couleurs et longueurs d’ondes de la lumière pour voir si notre cerveau réagissait à certaines couleurs ou longueurs d’ondes de la lumière, plus fortement qu’à d’autres.
Or, il est apparu que la suppression de la mélatonine était atteinte de façon maximale à une longueur d’ondes de 464 nanomètres, ce qui correspond à la fraction bleue de la lumière.
En sens inverse, il a été constaté que lorsque la fraction bleue de la lumière était bloquée, la mélatonine continuait d’être sécrétée normalement par notre organisme.
Ainsi dans une étude de 2008, les travailleurs de nuit portant des lunettes spéciales bloquant la lumière bleue continuaient à sécréter de la mélatonine alors qu’ils étaient exposés à une forte lumière de 800 lux. Lorsqu’ils cessaient de porter les mêmes lunettes, tout en étant dans les mêmes conditions de travail, la sécrétion de mélatonine était interrompue par la lumière.
Il existe donc une fraction ou une longueur d’onde de la lumière qui induit des réactions et des réponses de notre cerveau.
Bloquer cette fraction bleue de la lumière revient à créer une sorte d’obscurité virtuelle pour notre cerveau, ce qui favorise l’endormissement.
Les lunettes Bio Optik bloquent la lumière bleue.
On comprend alors l’intérêt à utiliser, le soir, les lunettes Bio optik qui bloquent la fraction bleue de la lumière, ce qui permet de ne pas altérer le rythme normal et habituel de sécrétion de la mélatonine.
Avec ces lunettes filtrantes, notre cerveau ne perçoit pas la fraction bleue des lumières qui nous environnent, (écran d’ordinateur, de télévision, lampe de chevet, éclairage ambiant etc..). Les lunettes Bio optik créent une sorte d’obscurité virtuelle pour notre cerveau et permettent donc à notre horloge biologique de fonctionner sur son rythme nocturne normal.
Les lunettes Bio Optik agissent donc comme un simulateur de nuit. Bien que nous soyons le soir en milieu éclairé, par exemple en train de travailler dans une pièce normalement illuminée, pour notre horloge biologique, c’est la nuit !
SOMMEIL ET MODE DE VIE NOCTURNE
Blocage de la lumière bleue
Blocage de la lumière bleue
Des millions de personnes sont astreintes à travailler de nuit du fait de leur profession.
Mais d’autres, tout aussi nombreuses, ont un rythme de vie nocturne déséquilibré : Elles restent tard le soir à travailler devant leur écran d’ordinateur, à étudier un dossier, à veiller dans un espace illuminé etc..
Ce mode de vie est d’ailleurs parfois subi. Les contraintes sociales, les contraintes liées au travail font qu’il est en réalité difficile de vivre le soir en adéquation avec les nécessités de son horloge biologique.
Mais il faut savoir que ce mode de vie a des conséquences néfastes sur notre santé. S’exposer à de la lumière tard le soir, plutôt que d’être dans l’obscurité, va à l’encontre de nos rythmes biologiques, et perturbe la sécrétion de mélatonine, hormone du sommeil. Ceci se répercute ensuite sur notre sommeil et sa qualité.
LUMIERE BLEUE ET SUPPRESSION DE LA MELATONINE
Notre horloge biologique, notre cerveau réagissent essentiellement à la fraction bleue de la lumière.
La lumière que nous voyons se compose de différentes couleurs et de différentes longueurs d’ondes. Des expériences ont été menées il y a une vingtaine d’années avec les différentes couleurs et longueurs d’ondes de la lumière pour voir si notre cerveau réagissait à certaines couleurs ou longueurs d’ondes de la lumière, plus fortement qu’à d’autres.
Or, il est apparu que la suppression de la mélatonine était atteinte de façon maximale à une longueur d’ondes de 464 nanomètres, ce qui correspond à la fraction bleue de la lumière. Ces données ont été confirmées plusieurs fois, depuis lors.
En sens inverse, il a été constaté que lorsque la fraction bleue de la lumière était bloquée, la mélatonine continuait d’être sécrétée normalement par notre organisme.
Ainsi dans l’étude de 2008, les travailleurs de nuit portant les lunettes spéciales bloquant la lumière bleue continuaient à sécréter de la mélatonine alors qu’ils étaient exposés à une forte lumière de 800 lux. Lorsqu’ils cessaient de porter les mêmes lunettes, tout en étant dans les mêmes conditions de travail, la sécrétion de mélatonine était interrompue par la lumière.
Il existe donc une fraction ou une longueur d’onde de la lumière qui induit des réactions et des réponses de notre cerveau.
Bloquer cette fraction bleue de la lumière revient à créer une sorte d’obscurité virtuelle pour notre cerveau.
SOMMEIL ET ECLAIRAGE INTERIEUR
En définitive plus nous sommes exposés à la fraction bleue de la lumière le soir, et plus notre rythme de sécrétion de la mélatonine, et donc notre sommeil, risquent d’être perturbés.
Très peu de lumière bleue suffit à interrompre la sécrétion de la mélatonine. Une dose aussi faible que 1,2 lux de lumière bleue monochromatique suffit à interrompre cette sécrétion.
De ce point de vue, l’éclairage de nos intérieurs le soir n’a jamais été aussi peu adapté aux
nécessités de notre horloge biologique.
Les anciennes ampoules à incandescence, (dites « à filament »), faiblement chargées en
lumière bleue sont désormais remplacées par des ampoules fluorescentes, (dites « longue durée » ou à « économies d’énergies »), qui contiennent toutes une part plus importante de lumière bleue.
Parfois aussi, nous nous éclairons le soir avec des ampoules dites « lumière du jour », ou encore
« plein spectre », dont la teinte de couleur est absolument bleue, quant il ne s’agit pas de Leds, qui sont le pire exemple. Ces différents types d’éclairage, utilisés le soir, peuvent entraîner des difficultés à trouver le sommeil.
Ainsi donc,
– Nous vivons à contre-courant de notre horloge biologique en demeurant tard le soir
en milieu éclairé,
– Mais encore, un mode d’éclairage inadapté ajoute encore aux conséquences néfastes
de ce mode de vie inadapté.
Une très importante étude de synthèse américaine parle, à propos de l’éclairage la nuit, d’un « véritable problème de santé publique ».
LUNETTES BLOQUANT LA LUMIERE BLEUE
On comprend alors l’intérêt à utiliser le soir des lunettes bloquant la fraction bleue de la lumière, ce qui permet
de ne pas altérer le rythme normal et habituel de sécrétion de la mélatonine.
Avec ces lunettes filtrantes, notre cerveau ne perçoit pas la fraction bleue des lumières qui nous
environnent, (écran d’ordinateur, de télévision, lampe de chevet, éclairage ambiant etc..). Ces lunettes
créent une sorte d’obscurité virtuelle pour notre cerveau et permettent donc à notre horloge biologique de
fonctionner sur son rythme nocturne normal.
Les lunettes Bio Optik opèrent donc comme un simulateur de nuit. Bien que nous soyons le soir en
milieu éclairé, par exemple en train de travailler dans une pièce normalement illuminée, pour notre
horloge biologique, c’est la nuit !
SOMMEIL ET LUNETTES BIO OPTIK
Une association médicale américaine indique les applications suivantes pour les lunettes Bio Optik :
– Filtrage des lumières nocturnes : « Les lunettes servent à maintenir l’acuité visuelle lorsque vous devez travailler
le soir dans un environnement où la lumière est intense, mais que vous voulez éviter les effets indésirables de la composante bleue de la lumière lorsque vous essayez d’aller dormir après le travail. »
– Endormissement : « ‘Elles sont utiles le soir et peuvent promouvoir un endormissement précoce »
– Regulation de l’horloge biologique : »Des lunettes filtrant la lumière bleue peuvent être utilisées pour optimiser le début de la sécrétion de mélatonine en soirée, et l’adaptation des rythmes circadiens »
De la même façon, l’association française, Association pour la Promotion du Sommeil en Médecine Générale indique : « Le port de lunettes
spéciales à lentilles orangées bloquant spécifiquement la lumière bleue-verte permet de limiter l’action de la lumière sur le système
veille-sommeil et permet une amélioration significative du sommeil ».
Portées une ou deux heures avant l’heure habituelle de sommeil, les lunettes Bio Optik constituent une excellente préparation au sommeil, en bloquant toutes les lumières bleues de notre environnement responsables de la perturbation de nos rythmes circadiens et en nous mettant dans des conditions idéales, pour permettre une sécrétion normale de la mélatonine..